"Les entreprises peuvent espérer un retour potentiel de 2,20 euros pour chaque euro investi dans la prévention, par année et par salarié.”
Si on rentre dans les détails, on s'aperçoit que dans 21 % des cas, le rendement est supérieur à 3.
Conclusion du rapport “Rendement de la prévention: Calcul du ratio coût-bénéfices de l’investissement dans la sécurité et la santé en entreprise” publié par l’AISS.
Un accompagnement augmente l'attractivité, retient les talents, réduit les Arrêts de Travail,
les Arrêts Maladie et le taux d'absentéisme
Le document unique d'évaluation des risques professionnels (DUERP) est obligatoire dans toutes les entreprises dès l'embauche du 1er salarié.
Pour réaliser le DUERP, l'employeur recense et évalue d'abord les risques présents dans l'entreprise.
Ensuite, il consigne dans le DUERP le résultat de l'évaluation des risques pour la santé et la sécurité auxquels peuvent être exposés les salariés.
Le statut d’IPRP est rassurant pour les prescripteurs
" L’intervenant en prévention des risques professionnels (IPRP) est une personne physique ou morale qui a des compétences techniques ou organisationnelles en matière de santé sécurité au travail.
Il participe à la préservation de la santé et de la sécurité des salariés et à l’amélioration des conditions de travail, dans l’objectif exclusif de prévention. »
L'IPRP est tenu à la confidentialité concernant les documents qu’il peut être amené à consulter (partie 4 du Code du travail en matière de santé et de sécurité au travail).
Il a l’interdiction de révéler les secrets et procédés de fabrication et d’exploitation (l'article R. 4624-9 du Code du travail).
Le statut d’IPRP est rassurant les financeurs.
Faire appel à un IPRP, référencée à la DREETS comme je le suis, permet l'octroiement de subventions de :
La loi du 2 août 2021 consacre le document unique d’évaluation des risques professionnels
(DUERP) comme fondement de la politique de prévention de l’entreprise en contraignant
l’employeur à le conserver pendant au moins 40 ans. – Le DUERP devra être déposé sur un
portail numérique à compter du 1er juillet 2023 pour les entreprises d’au moins 150 salariés, et au plus tard à compter du 1er juillet 2024 pour les autres. – Le programme annuel de prévention des risques est renforcé dans les entreprises d’au moins 50 salariés, de même que la traçabilité des actions de prévention dans les autres entreprises.
désinsertion professionnelle. – Sauf exception, les dispositions de la loi entreront en vigueur le 31 mars 2022 (Laurent Gamet,professeur des universités,doyen de la faculté de droit de l’université Paris-Est Créteil, avocat associé, Factorhy Avocats et Marc-Antoine Godefroy, avocat of counsel, Factorhy Avocats)
Afin de libérer la parole, dans un cadre de confidentialité , l'entretien individuel permet un premier contact et la présentation de la démarche .
Il permet de tisser un lien individuel avant de se retrouver en groupe et d'aborder la subjectivité individuelle avant le travail collectif.
Cet entretien, d'environs 60 min est composé: d'un questionnaire semi directif afin d’identifier les facteurs de compensation mais également de récolter les atouts et idées de chacun. d'un questionnaire direct qui me permet de produire des statistiques, à l’aide de questions précises sur des situations types, et d’évaluer ainsi les 6 catégories de RPS et les pratiques et engagement de la structure en matière de prévention.
L’analyse des situation combine des mesures quantifiées : faible, modéré et élevé et permet d’obtenir des résultats synthétisés.
Cet outil peut également être de nouveau proposé après l’accompagnement afin de mesurer les améliorations de la QVT et de l’appropriation du document unique d'évaluation des risques (DUER)
Face aux facteurs de risque, se met en place une régulation permanente pour diminuer le niveau de contrainte en augmentant les facteurs de protection.
Les entretiens individuels permettent de cerner la dimension subjective et les facteurs de protection mobilisés.
Au 19°siècle, les accidents au travail, étaient considérés comme "le prix à payer"
Le ministère du travail définit les RPS comme "recouvrant des risques professionnels d’origine et de nature variées, qui mettent en jeu l’intégrité physique et la santé mentale des salariés et ont, par conséquent, un impact sur le bon fonctionnement des entreprises.
On les appelle «psycho-sociaux», car ils sont à l’interface de l’individu (le « psycho »), et de sa situation de travail : le contact avec les autres (encadrement, collègues, clients, etc.), c’est-à-dire le «social»". Ils ont un effet sur la santé et sur la qualité du service : tension entre collègue, désengagement, capacité d'écoute, absentéisme ...